Là où on attend
« L’Église doit sortir, vers les périphéries existentielles ». C’est l’invitation que le pape François ne cesse de lancer. Mais qu’y a-t-il à découvrir dans ces “lieux” ? Et que signifie que le Destin devient compagnon de l’homme ?Ce sera le Meeting des périphéries. Pas seulement physiques, mais aussi existentielles, toujours aussi chères au pape François, et plus impalpables, plus difficiles à saisir. Parce qu’elles se trouvent partout où le cœur de l’homme est loin de ce qu’il cherche. Une périphérie, cela peut être un campus universitaire au cœur des États-Unis aussi bien qu’une favela argentine, ou bien une école dans les steppes de Sibérie.
À Rimini, du 24 au 30 août, on parlera de cela. On regardera cela. Qu’est-ce qui permet à l’homme de vivre partout, et de chercher le bonheur – la plénitude – en toute situation ? Qu’est-ce qui le soutient ? Pourquoi est-ce justement en premier lieu cette situation – c’est-à-dire les circonstances que nous vivons, la réalité – qui peut paradoxalement nous aider ? Et qu’arrive-t-il quand, dans ces circonstances, dans les périphéries, le christianisme se produit, c’est-à-dire que se produit le fait le plus imprévisible à travers lequel le Destin a décidé de nous faire compagnie ? Nous le verrons au Meeting. Nous pouvons commencer à le voir dans ces histoires de périphérie.