L'une des initiatives dédiées ces jours-ci à don Giussani s'est déroulée dans un village situé entre Barcelone et les Pyrénées ; plusieurs familles ont tout quitté pour venir travailler dans les écoles. « Dieu touche l’intouchable… »
La vie menacée par une pathologie rare. La douleur, la gratitude. Une année passée à l'hôpital entre opérations, nécessités et amitié. Quand on entrevoit l’infini dans les choses éphémères…
La recherche de soi, la possibilité de redécouvrir un père. Et l’attente, la patience. Parents, enseignants et jeunes racontent l’expérience d’un amour qui ne dit pas « va-t’en », mais « vas-y ». Comme dans la parabole.
L'attentat le premier jour des soldes d’hiver. La peur qui s’empare de tout le monde. Tous ces slogans. Et face au désarroi, le défi du fait chrétien : « De qui attendons-nous le salut ? »
Environ soixante-dix personnes se sont réunies, venues des deux côtés de la frontière brûlante entre la Russie et l’Ukraine, mais aussi en provenance de la Biélorussie, de la Lituanie et de l’Italie