Culture - 2018

Paul Véronèse, “Adoration des Mages”, détail.

Milan. Le souffle de Noël entre les plis d’une toile

CultureGiuseppe Frangi

L’Adoration des Mages, œuvre de Paolo Véronèse, exposée au Musée Diocésain de Milan. Une grande toile du maître vénitien capable de nous entraîner sur le chemin des rois mages jusqu’à l’émotion pleine de gratitude face à l’enfant Jésus

La Pietà Rondanini de Michel-Ange (détail)

Exposition à Milan. Pour que revive la Pietà

CultureGiuseppe Frangi

Au Château des Sforza, un parcours à travers les représentations du Vesperbild, “image des vêpres”, l’heure de la déposition de la Croix, qui prépare à la vision de la “Pietà Rondanini” de Michel-Ange à travers la compassion et la douleur de la Madone

London Encounter 2018 a eu lieu le 3 novembre (photo : Anna Arigossi/ICONphotos)

Londres. Si vous raviviez « le voyant lumineux » de Dieu

CultureGiuseppe Pezzini

De David Jones, poète de la Grande Guerre, au métropolite Antonij en passant par “Le grand inquisiteur”. Le London Encounter met en lumière le paradoxe de la liberté, que l’homme peut trouver même face à la mort

La conférence consacrée à Lorenzo Albacete à New York

New York. Un dialogue entre liberté et modernité

CultureAnnie Bacich

À Manhattan, la conférence à la mémoire de Monseigneur Albacete, organisée par le centre culturel Crossroads et consacrée à “foi et culture”. En protagoniste, un élève du prêtre américain, le professeur David C. Schindler

Wael Farouq, Emilia Guarnieri et Ahmad al Tayyeb, grand imam d’Al-Azhar (photo meetingrimini.org)

Le Meeting en Égypte. Pour vivre « le don de la différence »

CultureDavide Perillo

Trois jours entre Alexandrie et le Caire. Parlant d’astronomie, de 1968 et de l’héritage du cardinal Tauran. Puis la rencontre avec Ahmad al Tayyeb, le grand imam d’Al-Azhar, qui nous confie : « Nous croyons en la reconnaissance réciproque »

Hugh Jackman dans "Les Misérables" de Tom Hooper

Les Misérables. La force de Valjean

CultureDavide et Paolo Prosperi

Qu’y a-t-il de si puissant dans "Les Misérables" ? Voici une tentative de réponse, qui passe par les pages du livre, la comédie musicale et le cinéma. Du refus de la dépendance à la miséricorde

Marc Chagall, "Job", 1975

Le cri de Job

CultureIgnacio Carbajosa

Pourquoi le Meeting propose-t-il une exposition sur un livre écrit il y a 2000 an ? Quel est le rapport du personnage biblique avec Mai 68 ? Le rendez-vous avec le mystère de la douleur révèle ce qui est arrivé à la raison après que Kant ait tué Kant

Paul Claudel

« Voir des choses impossibles »

CultureFabrizio Sinisi

Qu’est-ce qui comble l’espace entre l’individu et le cosmos ? Pour inaugurer la kermesse, une réécriture théâtrale du Soulier de satin. 150 ans après la naissance de son auteur, le paradoxe chrétien entre en scène

Delacroix, peintre dans la tempête

CultureGiuseppe Frangi*

Delacroix a été le libérateur de la peinture. Il a permis que les couleurs reviennent l’enflammer, il a introduit un style libre, capable de faire sentir les attentes, les espoirs et les luttes qui l’habitaient, lui, mais aussi les hommes de son époque

Nagai, le préféré

CultureTommaso Ricci*

« Requiem pour Nagasaki, biographie de Takashi Nagai, le Gandhi japonais » est le livre du mois de mai

En regardand le champ

CultureLuca Fiore

À vingt ans de la disparition de William Congdon, trois frères du monastère bénédictin de la Cascinazza racontent la vie en compagnie du grand peintre américain. Et comment il nous a aidés « à vivre notre vocation »

Eugène Burnand, "Autoportrait", 1915

La course, le matin, et la pupille

CultureGiuseppe Frangi

Eugène Burnand, auteur de l'image de l'Affiche de Pâques de CL. Suisse, protestant, pensait que le christianisme pouvait donner à l'art ce qui lui manque le plus. Il se réveillait à l'aube pour retrouver la juste lumière dans la pupille de son modèle

Pierluigi Strippoli

Si ce que tu cherches existe

CultureAnna Leonardi

Un projet unique au monde, né dans le sillage de Jérôme Lejeune. Le généticien Pierluigi Strippoli travaille sur le syndrome de Down. Parce que « quand la nature condamne, le rôle de la médecine n’est pas d’exécuter la sentence mais de commuer la peine »