Il avait 25 ans quand sa vie a été brisée, et depuis, il en a passé dix-huit en prison. Joshua Stancil, ex-deejay en Caroline du Nord, revient dans un monde où tout a changé. Tout comme sa vie, depuis qu’il a cédé au visage de la miséricorde.
« I am don Giussani », dit Arnold, jeune garçon de Kampala. Pourquoi ? L’expérience du mouvement dans l’un des pays les plus jeunes du monde, dans lequel, entre bidonvilles et écoles, un peuple se réveille.
Fang-Cong a découvert que la Résurrection existe, Bo-Yue que le pardon est possible. Et puis, il y a Helga, Ning, Walker… Voyage à Taïwan, dans le « continent qui ne connaît pas le Christ », mais où se produisent les mêmes faits qu’il y a deux mille ans.
A Minsk, un meeting marque le début (ou la renaissance) d'une histoire… Il y a le compositeur, le chansonnier, le peintre, la réalisatrice. Tous sont venus voir ce qui fleurit dans une « communauté volante » de catholiques et d'orthodoxes, liés à CL.
"Pourquoi Jésus ne me touche pas, moi ?". Voici la question qu’elle se pose à cinq ans face à la maladie qui ne l’a pas quittée durant toute sa courte vie. Une fillette normale qui rêvait d’être éducatrice et qui a touché le cœur de plusieurs.
Que veut dire vivre « enraciné dans le Christ et rien de plus » ? Nous l’avons demandé aux moines de la Cascinazza, le monastère né entre autres grâce à l’amitié avec don Giussani.
Une semaine après l’Audience avec le Pape, l’Assemblée des responsables de CL a réuni au Brésil trois cent personnes provenant de toute l’Amérique Latine (Aral).C’est la vie d’un peuple qui, depuis la Place Saint Pierre, continue ici.
L'une des initiatives dédiées ces jours-ci à don Giussani s'est déroulée dans un village situé entre Barcelone et les Pyrénées ; plusieurs familles ont tout quitté pour venir travailler dans les écoles. « Dieu touche l’intouchable… »
La vie menacée par une pathologie rare. La douleur, la gratitude. Une année passée à l'hôpital entre opérations, nécessités et amitié. Quand on entrevoit l’infini dans les choses éphémères…
La recherche de soi, la possibilité de redécouvrir un père. Et l’attente, la patience. Parents, enseignants et jeunes racontent l’expérience d’un amour qui ne dit pas « va-t’en », mais « vas-y ». Comme dans la parabole.
Environ soixante-dix personnes se sont réunies, venues des deux côtés de la frontière brûlante entre la Russie et l’Ukraine, mais aussi en provenance de la Biélorussie, de la Lituanie et de l’Italie