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LettresSi nous gardons le cœur grand ouvert à ce qui nous arrive, nous devenons capables de défier le formalisme, et nous apprenons à tout confier au Christ, quelles que soient les circonstances
Si nous gardons le cœur grand ouvert à ce qui nous arrive, nous devenons capables de défier le formalisme, et nous apprenons à tout confier au Christ, quelles que soient les circonstances
D’où vient que j’aie aimé à ce point ces journées à Angra ? C’est difficile à dire. Mais quelque chose en moi a changé
« Il y a des gens qui distribuent tous leurs biens aux pauvres, plutôt que de devenir eux-mêmes pauvres en Dieu. »
Le matin même, elle a acheté dans un bar un « ticket à gratter » de 3 euros et elle en a gagné 30. Alors, elle les a utilisés pour la Collecte alimentaire
Ce n’est pas notre énergie qui peut rendre quelque chose nouveau. Seule peut le faire la joie qui transparaît de sa Présence
Je dois vivre mon quotidien, mais vous êtes là avec vos témoignages qui confirment que « cette possibilité est visible et que le début peut arriver de nouveau. »
Les jeunes ne sont pas des vases à remplir mais des feux à allumer
Comme on voudrait être constamment surpris par un événement qui rendrait tout comme nouveau !
Il voulait constituer une sorte d’École de communauté, en raison de l’immense intérêt qu’il avait éprouvé pour le livre… sans savoir qu’elle existait déjà
Au terme d’une journée pleine de souffrances et d’angoisses, nous avons pris conscience de notre dépendance et de notre vulnérabilité, mais en même temps de notre grandeur
Il y a un dessein bienveillant sur nous que, à travers la souffrance que nous avions traversée, nous a fait des cadeaux inattendus
Le sens du pèlerinage, c’est en chemin qu’on le découvre
J'ai fait l’expérience de la façon parfaite dont Il prend soin de moi
Nous n’avons rien qui soit une possession à vie, c’est une éternelle reconquête
J’ai dit un jour à une amie du Mouvement « Ne m’abandonne pas ! » Je crois que c’est à Jésus que je demandais de ne pas m’abandonner
Aucune difficulté ne nous avait été épargnée mais, grâce au beau chemin que le Seigneur nous avait fait parcourir en rencontrant le Mouvement, nous avions pu vivre avec intensité tout ce qui nous était arrivé
Le 24 août, don Paolo Bargigia nous a quittés, à 57 ans. Prêtre florentin, il était missionnaire à Lima au Pérou depuis 2008
Au fur et à mesure que notre conversation progressait, nous nous concentrions de plus en plus sur les demandes ultimes que nous portons tous dans notre cœur
La conscience s’élargit et reconnaît dans ton geste la valeur qui le rend vrai
Je n’ai pu qu’inviter cet étudiant aux vacances de GS : comment le priver de la possibilité de goûter la véritable origine de ce qu’il a vécu ?
Ce fut comme de me trouver de l’autre côté, du côté des actes de charité, en accueillant sans relâche des personnes qui incarnaient la grâce que j’avais demandée